Avec la crise, de plus en plus d’investisseurs s’interrogent sur l’opportunité de placer leur argent dans l’immobilier. En Europe, aux États-Unis, on observe un net recul des volumes de transaction. Pour les acheteurs, il s’agit en réalité d’une vraie bonne nouvelle : il est enfin possible de gagner beaucoup d’argent en achetant au prix bas. Et le mouvement est encore plus accentué dans l’hébergement de tourisme. S’il est un endroit où les bonnes affaires se multiplient, c’est bien le Maghreb. Oubliez les prix démentiels du mètre carré de Londres ou de Paris. Ici l’investisseur est roi. L’offre non placée est abondante et les programmes de nouvelles résidences de tourisme n’ont jamais été si nombreux. L’Algérie, le Maroc s’ouvrent toujours plus à cette clientèle venue de l’autre côté de la Méditerranée. La qualité des programmes architecturaux et des prestations n’a rien à envier à ce qui se pratique en Europe : surfaces généreuses, jardins privatifs, piscine, climatisation, voire espace de bien être sont souvent au rendez vous des nouvelles constructions immobilières. De quoi, séduire les plus exigeants.
Les retraités européens font partie de ceux qui séjournent le plus longtemps dans les pays du Maghreb. Ils sont attirés, à la fois, par un coût de la vie bien plus bas que dans leur pays, et par la douceur exceptionnelle du climat. Ce sont ces populations qui majoritairement recherchent des pieds à terre ou ils pourront couler des jours heureux. Pour eux, comme pour l’ensemble des investisseurs, il existe une solution simple pour dénicher les bonnes affaires. Les sites d’annonces immobilières (Algérie, Maroc …) en ligne, en facilitant les transactions de particuliers à particuliers, permettent de réaliser de substantielles économies. Sur internet, il n y a pas de frais d’agence et le marché subit en direct la dure loi de l’offre et de la demande. La transparence est totale et personne ne peut réellement envisager de vendre trop cher lorsque en quelques clics sur un moteur de recherche on peut trouver meilleur marché.